Les faits saillants 20-26 juil :

Armonstrong l’avait dit : « Ca me lans ici ». Mangez des huîtres sur la Lune, lui a répondu le docteur, ça passera mais pour l'amour de Dieu, restez-y.

Cette semaine, nous avons tous dignement célébré les 40 ans du premier pas d’un Homme sur notre satellite. Désormais l’être humain a trouvé une nouvelle planète à foutre en l’air et il a du boulot parce qu’elle est déjà en mauvaise état notre bonne vieille Lune. Enfin, on n’est même pas sur qu’il l’ai vraiment foulé. Ben oui paraitrait-il que la NASA aurait tout mis en scène et qu’en faite, alors que nos yeux de grands enfants, oui j’été déjà là à l’époque je peux témoigner, s’ouvraient à l’exploit de ces êtres infinitésimaux à l’échelle de l’univers, Armonstrong sirotait son verre de Soda en se disant : « Quel bande de con ! ». Ca ne serait pas la première fois qu’on nous fait le coup, il y a quelques années, un seul homme avait réussi à persuader une nation entière que les extra-terrestres débarquaient pour nous mettre un bon coup de pied au derrière sous prétexte qu’on ne prenait pas soin de notre maison. Ils étaient déjà verts à l’époque.
Tient en parlant de vert, Ô joie ! Dimanche, il en sera fini de cette fête populaire ou le franchouillard content de pouvoir enfin sortir de son salon, se plante sur le bord des routes pour assister connement au passage express de seringues à pédales. Eh oui ! Dimanche, plus de cadres en carbone, plus de roues en caoutchouc ni de coureuses en maillots de bain néoprène qui défie les records à la seule lumière de la technologie. Plus de commentateur braillard, qui vous racontent leur vie pendant les longues après-midi que dur cette mascarade bleu blanc gerbe ou le coq chante jusqu’au coucher du soleil la déchéance des cyclistes français sur leur terre. A la guerre, sus aux espagnols ! Terminé ce sport, matérialisation de l’ennuie ultime, étendard vert de l’écologisme taché de rouge. Fini les bouteilles jetées négligemment par les coureurs sur le bord des routes, les immondices laissés par les spectateurs dans les ravins de la honte. Il n’y a guère qu’un aspect positif à cette représentation macabre : le passage de la caravane gazant joyeusement les imbéciles trop heureux de recevoir un porte-clefs en forme logo Ricard, deux qui l’attrape trois qui lui carre.
Et pendant que se gargarise les tricheurs sur dérailleur, les producteurs d’huitres se plaignent encore de ne pouvoir vendre leur marchandise. Je revois encore la ventru quinquagénaire, tenant à pleine mais l’un de ses pauvre mollusque, bravant courageusement l’interdit de vente et donc de consommation : « ah ben moi ça fait des années que j’en mange ça m’a pas tué ». Si seulement … Mais madame de sont des organismes vivant, aussi primitifs soient-ils ne leur doit-on pas au moins le respect d’une mort honorable au lieu de les gober comme de vulgaires mouches. Quand vous madame, vous adonnez aux basses œuvres de la fellation et que vous avalé goulument le principal de votre partenaire, est-ce que, une fois l’objet de votre désir dans votre bouche vous vous mettez à le merdre violemment afin d’en extraire tout le goût et le jus ? Et pourtant il y a plus de cervelle blanche dans une huitre que de matière grise dans un pénis.

Et tandis que vont aux trous les jeunes désœuvrés en quête de place, un type c’est vautré en trottinette, se retrouvant les quatre fers en l’air et la dignité six pieds sous terre. Imbécile va !